Nos gestes amoureux sont une façon d’exprimer quelque chose à l’autre et parlent de nous-mêmes. Mais comme dans tout dialogue, nous pouvons faire des contre-sens. Les mêmes gestes peuvent vouloir dire une chose et son contraire. Pouvoir les vivre librement. Oser les exprimer simplement. Savoir les interpréter justement. Et aussi, en parler tout naturellement. »
Les gestes amoureux: sens et contre sens
La pornographie: et si nous y regardions de plus prés ?
La pornographie mise à nue. Nous l’utilisons pour booster notre libido. Et si elle formatait nos fantasmes? Nous espérons y apprendre un savoir faire. Et si le plaisir ne devenait que plus difficile avec sa compagne ou son compagnon? »
Tous les gestes amoureux sont -ils recevables?
Avec l’évolution des pratiques sexuelles au sein des couples, il n’est pas rare d’entendre l’un ou l’autre se demander si tel geste peut se faire ou pas. Cela renvoie à nos croyances, aux représentations de notre corps dans une culture de la performance sexuelle. Y-a-t-il des gestes qui se font et d’autres pas? Certains qui respectent, d’autres qui avilissent? A moins que l’essentiel soit ailleurs? Osons en parler entre nous, de ce que j’aime ou de ce que j’aime pas. Et osons faire de notre liberté l’espace de la rencontre de l’autre et de moi-même. »
Qui prend l’initiative dans les relations sexuelles?
Qui prend l’initiative dans nos relations sexuelles? Une question qui peut paraître anodine, sans importance. Et pourtant, dans mon cabinet, cela fait partie des reproches parfois qui s’expriment vis à vis de l’autre: » Pourquoi est-ce toujours moi qui prend l’initiative?« . Ce sont même des reproches que la personne se fait à elle-même: « J’aimerais pouvoir mais je n’ose pas, je ne sais pas y faire, cela ne se fait pas. » Oui, au travers de la question de l’initiative, c’est la question de ma posture dans la relation sexuelle. Qui serais-je si c’était moi qui prenait l’initiative? Quelle image aurais-je de moi? Et toi, de moi? Que je sois ou non à l’initiative de nos relations sexuelles, qu’est-ce que cela dit de toi, de moi, de notre attente de l’un et de l’autre?
La maladie de « Stacause »
La maladie de « Stacause ». Elle peut tous nous atteindre. C’t’a cause de ma grand-mère ou de mon voisin ou…Toujours à la recherche de la cause de mon problème. Qu’en pense la thérapie brève? »
Thérapies brèves: Changez de stratégie!
Changer de stratégie au travers des thérapies brèves. Il arrive que nous nous heurtions au même problème malgré les efforts fournis, et ce dans des domaines aussi différentes que la perte de poids ou le départ des starking blocs pour un sportif, ou même l’éducation de nos enfants. Or, la première chose que nous apprenons en thérapie brève est: « si ce que tu fais ne marche pas, arrête de le faire« . Et la deuxième loi est: « et fait n’importe quoi d’autres« . Combien de fixations parfois sur des façons de faire qui ne fonctionnent pas! Et si nous changions de perspective pour trouver une nouvelle stratégie?
La personne qui vient consulter est-ce un client ou un patient?
Quelle place a la personne qui vient en thérapie brève? Un patient? Un client? Un…? Ces noms ne sont pas anodins. Ils disent une posture, une façon de travailler avec ou pour la personne. »
Thérapie brève – Quelle relation j’entretiens avec mon problème ?
La question du problème est importante. Mais la relation que j’entretiens avec ce problème est capitale en thérapie brève. Oui, c’est en fait: chacun a une ma façon qui lui est propre de vivre ce problème, de l’aborder, de le supporter. La thérapie brève va prendre en compte cet élément et travailler sur cette interaction entre le problème et moi.
Thérapie brève – la forme et le contenu.
Résoudre un problème passe le plus souvent par l’écoute d’une histoire, son contenu. Est-ce le plus important? Les 3/4 de la communication sont du non verbal. Et si l’attention à la forme nous permettait d’aller plus à fond pour comprendre la problématique de la personne? »
Soirées à thèmes. Ateliers.
Soirées à thèmes. Ateliers. A Caen.
En collaboration avec Virginie Deville, sophro analyste, nous organisons régulièrement des soirées à thèmes: Les Rendez-vous de Jean-Luc et Virginie. Le but est de pouvoir aborder différents sujets autour de la relation, de l’affectivité, de l’amour, de la sexualité, du plaisir etc… dans un climat simple. Le fait d’être un homme et une femme, avec des approches différentes est un atout sur lequel nous aimons à jouer pour élargir votre perception des thèmes.
Le travail en groupe est aussi une possibilité qui offre d’autres avantages dans la rencontre de soi et des autres:
– Découverte de l’hypnose et de la PNL, de la sophrologie, de la systémie.
Nos soirées se passent dans un climat simple et bienveillant.
– Ateliers de 12 personnes en sexothérapie: mixtes ou non. A l’aide de différentes supports: des outils d’art thérapie, de PNL, d’échange de connaissances… laisser s’exprimer mes représentations, mes rêves, mes fantasmes en ce domaine commun aux hommes et aux femmes: la sexualité. A partir de là, pouvoir accueillir ce que je suis et trouver un chemin pour grandir vers une sexualité plus heureuse.